« Dormez tranquilles bonnes gens (…) Tout est parfaitement faux et le reste est sous contrôle », Boualem Sansal
La réalité est le mirage des hypocrites
Seul l’artifice Crée la vérité
Ou la poésie ou le silence de la mer
Les vagues de l’océan
« Dormez tranquilles bonnes gens (…) Tout est parfaitement faux et le reste est sous contrôle », Boualem Sansal
La réalité est le mirage des hypocrites
Seul l’artifice Crée la vérité
Ou la poésie ou le silence de la mer
Les vagues de l’océan
C’est quoi le réel ?
« Seamstress
Mistress
Distress
Stress », Louise Bourgeois
« Pour déconstruire notre regard sur l’Autre, il est nécessaire de décoloniser nos imaginaires », Pascal Blanchard
Joie de la dissonance et décontraction du quotidien
Chuchoter n’est pas crier
« Il faut tourner contre ce que l’on a écrit et monter contre ce que l’on a filmé », François Truffaut
Ciel blanc et atone
De l’après nuit
Ton mental
Des plages aux alpages
Comment faire pour continuer à s’enflammer ?
Pourquoi « plus vite plus haut plus fort » ?
I want a slow life
A slow love
« Il y a des mots qui étoilent et qui permettent d’aller plus avant », Annie Ernaux
Le silence de la mer
Et c’est tout
« Pour un musicien, ce qui compte c’est le souvenir d’un passé perdu », Duke Ellington
Sans mémoire, nous sommes condamnés à rééditer les mêmes choses
Avant que l’été ne meure
Laisse le spectre de la rose te guider
ET Récolte tes souvenirs comme un samouraï
« L’enfer est vide. Tous les démons sont ici », Shakespeare
Death is a girl
Face aux mots si forts
Elle résistera telle une chambre d’écho
« Je crois aux interstices, les parties de peau entre deux tissus (…) C’est l’attente qui est magnifique », André Breton
Le corps est le dernier territoire quand on n’a plus rien
L’individu transpire toujours dans son mouvement
Il a sa danse
Quand on voit de très loin quelqu’un marcher dans la rue, ne le reconnaît on pas ?
« Ce qu’il y a de terrible avec la mémoire c’est qu’on la sait condamnée à disparaître », Euripide
Comment lutter contre l’intensité moyenne des jours ?
Puisque tout disparaît
Une vie à brûler
Et rien d’autre